Le mois dernier, il s’est passé quelque-chose de nouveau. De tout coeur, je vous remercie de vos jeux de mots et d’humour, de votre billet, de vos bonjours, de votre plaisir à recevoir cette correspondance, de vos conseils et suggestions. Cela me surprend toujours parce que je m’étais promis, en commençant cette correspondance, de ne rien n’en attendre, si ce n’est qu’envers moi-même de la mener à son terme ; tous les mois, jusqu’au 31 décembre 2049.
Mais, ce mois-ci, il s’est passé quelque-chose de nouveau. Votre généreuse spontanéité m’a fait ressentir cet élan géopoétique qui ouvre cet espace mental, existentiel et élargi pour reprendre les mots de Régis Poulet de l’Institut International de Géopoétique. Presque d’un coup d’un seul, j’ai reçu deux poèmes surgissant d’une insomnie silléenne, car il manquait au poète semencier de graines biologiques, un pas de mousse pour terminer un vers ; le vers de Joséphine Bacon a donc fait son oeuvre, une calligraphie inspirée par son poème innu « Quelquepart – Uiesh », avec des…
CORRESPONDANCES GEOPOETIQUES. Archipel arctique. 27 mars 2023. A vos frontières